Parfois, la belle-mère intervient dans la vie du couple : voici comment gérer au mieux cette situation
Dans presque tous les couples, il y a des belles-mères qui savent rester à leur place sans interférence et d’autres belles-mères qui profitent plutôt des « réunions » (vacances, fêtes, anniversaires, etc.) pour souligner, parfois même publiquement, les erreurs que la belle-fille commet envers son fils ou petits enfants.
La belle-mère « dépendante »
Il existe parmi eux qui maintiennent un rôle de suprématie sur leur fils et prétendent savoir à chaque instant ce qui est juste pour lui, sans même se souvenir qu’il a grandi et qu’il a une femme, ou un compagnon, qui sait comment s’occuper de lui avec toutes ses notes. La belle-mère dépendante est la plus inconfortable et il faut essayer dès les premières rencontres de bien comprendre les limites de son territoire ; il arrive souvent que les nageuses soient les seules à composer avec ces relations malsaines car leur mari ne veut ni se disputer ni prendre de position. La belle-fille doit rester calme et ferme dans ses décisions et ne pas se sentir coupable. Dans ce dernier cas, sa belle-fille se sent menacée dans son rôle et a tendance à se fermer et à lui faire concurrence.
Invasion…. de rôles !
Pourquoi ces invasions de rôles avec les implications relatives de la médaille ?
Souvent, les enfants restent très dépendants à l’égard de leurs parents (par exemple, ils les utilisent comme gardiennes pour les nouveau-nés, ils demandent de l’argent pour couvrir des dépenses qu’ils ne peuvent se permettre, etc.) et dans ce cas, les beaux-parents se sentent en droit d’avoir leur mot à dire sur l’évolution de la relation.
Comment gérer la situation
C’est un échec de concourir des deux côtés ! Donc, comment on peut s’entendre ?
Souvent, nous avons tendance à ne pas avoir de relation personnelle avec notre belle-mère, c’est-à-dire que nous ne nous rendons qu’à des occasions de groupe familial, avec la présence du partenaire, du beau-père, des enfants ; cependant, passer du temps avec elle, partager un intérêt commun, cela peut créer une complicité agréable.
L’autonomie économique et la prise de décision constituent un excellent point de départ : le couple doit se débrouiller seul ; vivre ensemble ou à proximité est une condition à haut risque pour les dépendances mutuelles et devrait donc être évité et découragé.
Votre partenaire et son soutien pour gérer la situation de votre belle-mère sont essentiels ; vous devez être très unis et planifier une ligne de conduite commune pour faire face à cette figure, parfois inconfortable.
La première chose à faire est de définir des priorités ; donner la priorité à la relation et placer les familles respectives au second plan est devenu une condition de l’obligation. Si le partenaire ne se présente pas pour défendre son partenaire contre les attaques de sa mère, alors il y a un gros problème qui pourrait détériorer la relation au fil du temps.
Bref : l’union fait la force !
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